Thérapies par l’urine et les selles de vache
De quoi “🤮”.
Pourtant… Les produits tirés de la vache ont depuis longtemps prouvés leurs vertus et s’avéraient nécessaire pour traiter de nombreuses pathologies modernes.
L’occident n’a jamais autant connu de cas de problèmes digestifs et de troubles connexes comme les cancers. Le taux de maladies psychiques grimpe en flèche comme les TDH et l’autisme.
En cause ?
L’appauvrissement du microbiote : mauvaise alimentation, surconsommation d’antibiotiques, naissance par césarienne trop fréquentes et non nécessaire (ne permettant pas à l’enfant d’obtenir les bactéries qui formeront son microbiote à sa naissance) …
De récentes études ont démontré le potentiel des transplantations de microbiote fécal dans l’amélioration des syndromes autistiques.
Tout comme le fumier fertilise les sols, nous les êtres humains, avons besoin de microbes pour nous développer.
On pourrait tout à fait faire le lien entre l’appauvrissement de nos sols et celui de notre intestin.
On pourrait tout à fait faire le lien entre l’appauvrissement de nos sols et celui de notre intestin.
L’utilisation de la “cowtherapy” ou thérapie par les produits dérivés des vaches me semble extrêmement pertinente.
De quoi en ragoûter certains certes, mais un potentiel immense !
Il existe de nombreuses formulations ayurvédiques, dont le Panchagavya : une mixture d’excréments, d’urine, de lait, de ghee et de lait caillé (d’autres ingrédients peuvent être ajoutés). Ce produit fermenté aurait des propriétés incroyables.
Cette formule n’est pas unique, et on en retrouve des similaires en médecine chinoise par exemple.
Que l’on soutienne ou non ces thérapies, il ne reste pas moins intéressant de soulever que les recherches modernes tendent à reprendre les remèdes traditionnels.
Si l’être humain a perdu une partie de son microcosme, tout comme la terre a perdu de sa fertilité, alors nous ne pouvons mettre de côté ces thérapies ancestrales.
Nous reconnecter à notre microbiote, c’est se reconnecter à la Terre elle même – Bhumi.
Que l’on soutienne ou non ces thérapies, il ne reste pas moins intéressant de soulever que les recherches modernes tendent à reprendre les remèdes traditionnels.
Si l’être humain a perdu une partie de son microcosme, tout comme la terre a perdu de sa fertilité, alors nous ne pouvons mettre de côté ces thérapies ancestrales.
Nous reconnecter à notre microbiote, c’est se reconnecter à la Terre elle même – Bhumi.
