Pourquoi je ne fais pas de Prashna II ?

Je vous expliquais, il y a quelque temps, pourquoi je ne faisais pas de Prashna (technique de réponse à une question par l’astrologie).


Dans ce post, je n’avais pas abordé les “Conséquences du Prashna“.
 
Lorsque nous faisons un choix, nous le faisons naïvement, ignorant les messages et indices de l’Univers.
 
Nous choisissons avec le cœur, parfois par la peur, ou avec la tête, mais nous choisissons avec ignorance du futur et de la totalité des conséquences de nos choix.
 
Cependant, si nous décidons de faire un Prashna avant de prendre une décision, nous ne pouvons plus ignorer la réponse qu’il nous a été donné.
 
Par exemple : si la réponse est non, mais que nous souhaitons tout de même un oui et que nous faisons ce oui; alors nous ignorons complètement la réponse qu’il nous a été donné.
 
Nous pourrions nous dire “pas grave”. Mais en réalité, les conséquences karmiques d’un choix sous ignorance de Dieu VS un choix ignorant Dieu (alors que l’on a spécifiquement demandé une guidance), ne sont pas les mêmes.
Un peu comme le fameux “Je te l’avais dit”.
La problématique du Prashna, c’est que nous ne prenons pas la réponse au sérieux. Et qu’elle nous enlève le choix du libre arbitre ignorant. Ce libre arbitre qui s’aiguise par le discernement au fil du temps qui passe et de notre avancement spirituel.
 
Ceci dit, il existe une technique astrologique permettant de visualiser l’évolution d’une situation.

Avons-nous : progressé, régressé ou rien n’a changé.

Ce genre de questions amènent des réponses plus intéressantes, permettant de souligner notre capacité au changement, mettant en lumière nos avancements ainsi que nous blocages.
 
Le Prashna n’est pas une technique qui doit vous effrayer. Sachez cependant que les biens heureux sont souvent les ignorants.
 
Personnellement, j’aime voir l’astrologie comme un outil de connaissance et de guidance vers la Conscience.
 
Si vous pensez que tout est déterminé, vous avez raison. Si vous pensez que la Grâce et la Magie peuvent opérer, vous avez raison.
 
En résumé : vous n’êtes et vous n’êtes pas Créateur

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