Description
Le mālā rudrākṣa à 5 mukhi représente les cinq éléments et les cinq sens. Il favorise la bonne santé, la stabilité mentale et la croissance spirituelle. Il est couramment utilisé pour les prières quotidiennes et la méditation. Les graines qui le composent sont un symbole de bon augure, apportant au porteur la paix intérieure, la connaissance et le succès. Ce collier éveille également le pouvoir créatif.
Les rudrākṣas à 5 faces sont gouvernés par la planète Jupiter (Bṛhaspati), guidant la personne, tout comme un Maître (Guru) guide ses disciples.
Ce mālā peut être utilisé pour chanter le mantra de n’importe quelle divinité.
Le mot mālā signifie collier et japa : murmurer des prières. Le collier mālā est utilisé pour la récitation (japa) de mantras dans un but de concentration de l’esprit, ce dernier tourné vers la Conscience. Un chapelet hindou se compose généralement de 108 perles, en plus de la graine Meru ou la graine du Guru (une graine supplémentaire en l’honneur de Guru).
Le nombre 108 a plusieurs significations :
27 constellations x 4 padas (parties) = 108
12 maisons du zodiaque x 9 planètes = 108En d’autres termes, 108 perles représentent l’univers entier.
1. Placez le mālā entre le pouce et le majeur, tout en gardant l’index pointé loin de vous. L’index symbolise notre “égo”. Nous devons donc nous assurer qu’il ne touche aucune perle.
2. Commencez à chanter le mantra choisi, en partant de la perle à côté de la graine du Guru, c’est-à-dire la perle au-dessus de celle accolée au pompon.
Prendre soin de son mālā
Votre mālā, comme tout rudrākṣa, doit être maintenu propre. Vous pouvez tremper les graines dans de l’eau tiède la nuit, les frotter à l’aide d’une brosse en plastique le lendemain, puis les laisser sécher. Une fois que les perles sont sèches, vous pouvez appliquer de l’huile de bois de santal (à l’aide d’une petite brosse à dents). Vous pourrez également offrir de l’encens, des fleurs et de la pâte de santal. Il est aussi possible de laisser tremper chaque graine dans du ghee (beurre clarifié) toute une nuit, puis de les rincer à l’eau le lendemain.
Les rudrākṣas dans les textes classiques
Les rudrākṣas sont largement reconnus dans la littérature védique, puranique de l’Inde. Plusieurs chapitres leurs sont consacrés dans la devī bhāgavatapurāṇam (livre 11 chapitre 3-7) notamment.
“Ô intelligent ! Partout où quiconque tient avec ou sans foi et dévotion la graine de rudrākṣa avec ou sans aucun mantra, est libéré de tous les péchés et a droit au Tattvajñâna (connaissance de la vérité). Je ne suis pas en mesure de décrire pleinement la grandeur des perles de rudrākṣas. En fait, tous devraient par tous les moyens porter les graines de rudrākṣas sur leur corps.” – Devī Bhāgavata Purāṇam, Skandha 11, Chapitre 3, Verset 37
Quelques conseils
• Préférablement, les chapelets ne doivent pas être partagés, échangés, transférés, d’une personne à une autre personne après qu’ils aient été portés.
• Certains recommandent d’éviter de porter des rudrākṣas lorsque vous vous rendez à des funérailles.
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